Un autre Gabriel de Clieu alors. Pas le chalutier des années 60-70. Un Gabriel de Clieu qui n'a donc pas encore fini sa vie au bord d'un bassin comme son prédécesseur onomastique et qui n'est pas non plus à la rue (de Clieu) pour terminer l'année sur un jeu de mots d'une nullité écrasante.
Je croyais que ce remorqueur (celui de la photo) devait être vendu à l'arrivée de l'Albâtre ... Bon pour ce Gabriel de Clieu je câle et je sèche (à défaut de cale et de seiche).
Allez; un bon coup de grattage, et d'antifouling neuf!.....et le revoilà parti pour une autre carrière!....( après près de 40 ans de bons et loyaux services!......on savait fabriquer des bateaux qui durent aux ACM!......) ---Pour les amateurs, on peut remarquer la tuyère d'hélice " Kort " qui a la particularité d'être mobile ,et de servir avec sa petite dérive arrière de gouvernail; annulant bien le couple et permettant aussi de gouverner en marche arrière. JL
On pourrait aussi s'en servir comme enseigne géante pour attirer les touristes. Une enseigne géante pour un hôtel restaurant que l'on pourrait appeller "Le foyer du marin II" (un remake version touristique) ou encore "le bateau fantôme" pour rester énigmatique et ne pas être à la remorque du remorqueur.
Bon, trêve de plaisanterie. Eh oui, les ACM, tout un symbole de l'industrie dieppoise ! Industrie, qui plus est, liée à la mer, à la très forte identité locale. Un fier Balidar apparemment encore sur pied ou plutôt sur quille. J'avoue ne pas l'avoir connu (le Gabriel de Clieu, pas le Balidar) mais j'imagine sa mise à l'eau du côté des ACM et ses exploits remarqués et remorqués.
Cela n'a rien à voir et j'imagine que vous reviendrez ensuite sur le thème du Gabriel de Clieu, mais je ne peux résister à l'envie de vous dire que je viens juste de voir dans l'émission Télé Matin (seconde chaîne) un reportage sur le musée de Saint-Martin-en-Campagne mis à l'honneur par Quiquengrogne en juillet (voir http://www.quiquengrogne-dieppe.com/search/label/Mus%C3%A9e%20d%27Histoire%20de%20la%20Vie%20Quotidienne.%20Saint-Martin-en-Campagne ).
Une jeune dame, Virginie Parailloux (pardon si j'écorche son nom), sans doute la directrice du musée, nous en ouvre les portes et donne explications à son propos.
Elle met en exergue l'importance de conserver et de montrer au public les objets de la vie quotidienne des années 30, 40 et 50 (parfois du reste encore en service dans les années 60 et 70, je vous l'assure).
Elle insiste entre autres choses sur la mise en scène d'une évolution au cours du temps et sur les liens entre l'artisanat et l'industrie. Pas mal du tout, mais un peu court (5 minutes peut-être dans le style Télé Matin).
S'il vous plaît, parlez-moi du "ciné plage" où j'allais voir des films de l'ouest américain, des péplums et autres productions dépassées, sauf pour moi. Cela se passait boulevard de Verdun je crois, près de l'ancienne école Desceliers où régnaient en maîtres les meilleurs enseignants que j'ai connus (les Gioux : CP et Cm2).Fausto Garasa.
Vous évoquez le Lisieux et l'Arromanches. J'ai connu pas mal de ferries accostant Quai Henri IV. Mais je me souviens surtout de "Capitaine", une figure dieppoise aujourd'hui disparue, un peu "décalée". Il participait aux manoeuvres d'accostage, d'amarrage, avec son long bâton orné d'un chiffon coloré et tout cela avec la bienveillance des marins de la ligne qui l'appelaient "Capitaine". Jean-Pierre Marchand
Je me souviens de la carpenterie. On plongeait depuis les piliers. Il n'en reste plus qu'un. On avait des chambres à air de roues de camion. L'eau était froide avec l'Arques qui passe là. Antoine dit le cartahu.
La foire sur le parc Jean Ango. On passait près de baraquements verts en bois. Je suis resté coincée une bonne demi-heure dans le palais des glaces. Je me souviens d'un manège avec des bateaux. J'entends encore le bruit de l'eau. Je n'ai pas de photo hélas. Evelyne
Souvenir de la Place Nationale un jour de marché:J'ai vu un beau jour de printemps, un énorme crabe s'évader de la poissonnerie...Après avoir "sauté" sous mes yeux étonnés, il traversa le parking en passant entre les voitures, ce qui lui sauva aussi la vie, pour aller vers "l'eau" sans doute par instinct et sens de l'orientation...Ca m'a amusé et je l'ai suivi, jusqu'à une des petites rues dont j'ai oublié le nom.Et l'ai aidé à terminer son trajet... Thierry Bressol
Un autre Gabriel de Clieu alors. Pas le chalutier des années 60-70. Un Gabriel de Clieu qui n'a donc pas encore fini sa vie au bord d'un bassin comme son prédécesseur onomastique et qui n'est pas non plus à la rue (de Clieu) pour terminer l'année sur un jeu de mots d'une nullité écrasante.
RépondreSupprimerJe croyais que ce remorqueur (celui de la photo) devait être vendu à l'arrivée de l'Albâtre ... Bon pour ce Gabriel de Clieu je câle et je sèche (à défaut de cale et de seiche).
FG
Allez; un bon coup de grattage, et d'antifouling neuf!.....et le revoilà parti pour une autre carrière!....( après près de 40 ans de bons et loyaux services!......on savait fabriquer des bateaux qui durent aux ACM!......)
RépondreSupprimer---Pour les amateurs, on peut remarquer la tuyère d'hélice " Kort " qui a la particularité d'être mobile ,et de servir avec sa petite dérive arrière de gouvernail; annulant bien le couple et permettant aussi de gouverner en marche arrière.
JL
On pourrait aussi s'en servir comme enseigne géante pour attirer les touristes. Une enseigne géante pour un hôtel restaurant que l'on pourrait appeller "Le foyer du marin II" (un remake version touristique) ou encore "le bateau fantôme" pour rester énigmatique et ne pas être à la remorque du remorqueur.
SupprimerBon, trêve de plaisanterie. Eh oui, les ACM, tout un symbole de l'industrie dieppoise ! Industrie, qui plus est, liée à la mer, à la très forte identité locale. Un fier Balidar apparemment encore sur pied ou plutôt sur quille. J'avoue ne pas l'avoir connu (le Gabriel de Clieu, pas le Balidar) mais j'imagine sa mise à l'eau du côté des ACM et ses exploits remarqués et remorqués.
Fausto.
Chers tous,
RépondreSupprimerCela n'a rien à voir et j'imagine que vous reviendrez ensuite sur le thème du Gabriel de Clieu, mais je ne peux résister à l'envie de vous dire que je viens juste de voir dans l'émission Télé Matin (seconde chaîne) un reportage sur le musée de Saint-Martin-en-Campagne mis à l'honneur par Quiquengrogne en juillet (voir http://www.quiquengrogne-dieppe.com/search/label/Mus%C3%A9e%20d%27Histoire%20de%20la%20Vie%20Quotidienne.%20Saint-Martin-en-Campagne ).
Une jeune dame, Virginie Parailloux (pardon si j'écorche son nom), sans doute la directrice du musée, nous en ouvre les portes et donne explications à son propos.
Elle met en exergue l'importance de conserver et de montrer au public les objets de la vie quotidienne des années 30, 40 et 50 (parfois du reste encore en service dans les années 60 et 70, je vous l'assure).
Elle insiste entre autres choses sur la mise en scène d'une évolution au cours du temps et sur les liens entre l'artisanat et l'industrie. Pas mal du tout, mais un peu court (5 minutes peut-être dans le style Télé Matin).
Fausto.
Chers tous,
RépondreSupprimerVoilà, c'est la dernière journée de l'année 2014....
ne la regrettons pas!.....vive 2015!......
bonne année à tous
Jean-louis
Bonne année à toi et à tous les fidèles du blog.
SupprimerOlivier