Quand j'étais jeune, la contemplation des couchers de soleil était une mode. On s'installait dans la zone de la rotonde et on contemplait la chose avec une petite pointe d'ésotérisme et de bouddhisme de bon aloi (c'était aussi la mode). Cela ne nous empêchait pas, je l'avoue, de regarder les filles qui passaient par là, de faire mine de les ignorer et de se croire le centre du monde (c'est peut-être là le défaut, mais aussi la qualité de la jeunesse).
Je vois que les couchers de soleil sont, fort heureusement, beaucoup plus qu'une mode et qu'il existe des artistes de l'instant. Un peu comme Jorge Guillén en matière de poésie(franchement, les photos sont belles !).
FG
NB: J'ai constaté en contemplant une photo de la fin des années 70 ou du début des années 80 (je me suis fié aux voitures pour dater) qu'à l'époque, l'estacade existait encore. Le pire c'est que je ne m'en souviens pas, bien qu'ayant fréquenté ces lieux avec une relative assiduité jusqu'à la fin des années 70. J'espère que ce n'est pas la mémoire qui, me concernant, flanche dangereusement. Si c'est le cas, tant pis.
Cela ne m'étonne pas car nous faisons partie de la même génération (d'après mes calculs, seules quelques années nous séparent et, maintenant que j'y pense, nous avons dû nous rencontrer : MJC, plage, Bout-du-Quai ?).
Moi aussi j'ai essayé de changer le monde, mais cela n'a pas marché. Un échec total, reconnaissons-le. As-tu eu plus de succès ? (l'humour, dit-on, ne tue pas : c'est déjà cela).
Je suis très étonnée et limite choquée, des couchers de soleil, des regards en coin vers les filles, n'y avait-il donc que moi à ne penser qu'aux études près de cette rotonde ! :+))
Tout à fait vrai, mais Sartre était à l'oral de français du bac et le coefficient comptait quand on était en section A de l'époque, alors mal de mer ou pas...nausée quand même, on se donnait surtout l'impression de réviser parce que la concentration n'y était pas vraiment !
Il est vrai que le bac n'a jamais été équipé de système anti-roulis et anti-tangage. Alors le mal d'Homère à défaut de Jean Sol Partre (c'est encore une histoire d'écumes journalières me direz-vous). A déchiffrer ...
Chapeau bas Monsieur Fausto : en ce temps tellement orageux que Les Mouches ne se contentent pas de rester à Huis-Clos, les Mots sont parfois difficiles à venir. Je constate qu'il n'en est rien pour certains alors que même Le Diable et le Bon Dieu abandonneraient la partie et que les Putains respectueuses resteraient enfermées.
Désolée, c'est la chaleur, je n'ai pas pu résister ! ;+))
Entre pièces de théâtre, drames et autobiographie, une bonne partie de Jean Sol est là. Il ne manque plus que la damnation, mais là je m'en charge (avec un "o" en plus, mais c'est la même racine latine).
On peut dire qu'en ces temps orageux nous sommes les rois de la "déconne".
Je vois qu'il y en a d'autres que la chaleur ne perturbe pas ! non Alain je ne la voyais pas apparaître sauf si j'avais succombé alors aux paradis artificiels et comme j'étais une jeune fille rangée...
Les paradis artificiels c'était en juin (enfin tout dépend de la prononciation du mois), pas en juillet. Or nous sommes en juillet et avons toujours été de surcroît, moi et l'ensemble des intervenants (dont Catherine) très sérieux.
Quant aux Gémeaux (au-delà de la Constellation, ce sont aussi les jumeaux, Pollux inclus), point de Parnasse, pas plus que de symbolisme tardif, pas davantage d'absynthe (elle n'existe plus depuis longtemps, remplacée quelle fut par le pastis et le Ricard, avec interdiction de dépasser le 51), peut-être des absences ...
Je ne suis pas coupable de tout cela, c'est Jean-Louis qui a commencé avec son histoire de mal de mer. Na !
Je crois Jean-Louis que nous ne nous sommes pas compris. C'est le problème des allusions, qu'elles renvoient à Jean Sol ou pas et des allusions, bien bénignes et plutôt drôles, il y en a un paquet dans les messages qui précèdent.
J'avais compris (outre l'allusion à La Nausée, puis aux Mains Sales) qu'il y avait un renvoi au mal de mer lorsque tu précises (voir plus haut) : "Ce n'est pas une lecture....de bord de mer!...( sur mer encore moins!...)". La nausée pouvant être provoquée par des troubles de l'oreille interne causés notamment par le tangage, le roulis et donc le mal de mer, je croyais que tu faisais à Catherine une bonne blague qui allait au-delà du roman philosophique (d'autant plus qu'outre tes talents d'artistes, tu es marin. Cela tombait pile poil).
Tu me diras que je vais chercher des allusions et des jeux de mots là où il n'y en a pas. Autant pour moi.
J'imagine qu'avec mon esprit tordu, mais encore une fois, fort bénin, ce que j'ai écrit précédemment a peut-être été mal interprété (c'est mon côté parano).
Si vous cherchez bien (c'est vrai que cela n'est pas très intéressant et personne ne vous tiendra rigueur si vous vous en fichez), il n'y a rien de vilain. Il ne s'agit que de quelques élucubrations autour de Castor et Pollux, de la Constellation des Gémeaux (des jumeaux et donc de Castor et Pollux), de Baudelaire, des symbolistes (Verlaine, Rimbaud), de l'absynthe, du juin (prononciation spécifique à adopter)dont on pourrait penser que nous sommes coutumiers vus les propos, pour le moins délirants, que l'on tient.
Très amicalement et toujours avec ce plaisir qui m'envahit lorsque je dialogue avec mes sympathiques et intéressants Dieppois (dont j'espère faire encore partie, du moins par la pensée).
non, c'était bien çà; la Nausée; mais quand elle arrive trop vite, en mer, .....on peut aussi avoir ...les mains sales!.... .véritablement, sans allusion; mais çà collait bien avec ce qui précédait!...( Sartre n'aurait pas été ravi...) JL
OK, cela me rassure, je vois que j'avais au moins compris le début. De mon côté, j'ai fait allusion à Jean Sol (Partre) car c'est ainsi que Vian appelle son ami Sartre dans l'Écume des jours (une Écume qui est une mer figurée, mais qui nous va si bien). Bon, redevenons plus simples, c'est-à-dire naturels et on se comprendra mieux.
Les paradis artificiels (pas l'essai de Baudelaire)c'était par ailleurs la grande mode des années 70 que l'on faisait coïncider avec le bouddhisme et l'ésotérisme. C'était drôle de voir des gars comme moi et d'autres acolytes s'être autant transformés en quelques années au sortir de notre Bout-du-Quai qui lui, était notre milieu naturel. Et quel milieu ! Les plus belles années de ma vie (sans la moindre ironie) ! J'ai du reste très peur de revoir un jour mon Bout-du-Quai car je suis sûr qu'il a disparu à jamais.
Sans l'ombre d'un doute!....TON Bout du Quai, le MIEN par la même; ont disparu à jamais! les rues: Canu, des bonnes femmes; Beauregard; la Lanterne etc....autrefois grouillantes de vie, ne sont plus que des rues ...vides, sans âme, j'y passe ( rarement) comme un étranger!..seuls, les souvenirs sont là!.... C'est devenu...résidentiel?....l'été... et vide l'hiver!Enfin, c'est l'évolution des quartiers un peu partout je crois. Jean-Louis
Je suis content que tu ne te sois pas moqué de ma perle : "J'ai du reste très peur de revoir un jour mon Bout-du-Quai car je suis sûr qu'il a disparu à jamais" (voir mon dernier message).
Sortie de son contexte la phrase est absurde et tu as parfaitement compris ce que je voulais dire : j'ai peur de revoir le Bout-du-Quai (qui ne peut-être que l'actuel Bout-du-Quai) car je ne risque pas d'y retrouver le Bout-du-quai de mon enfance et d'une certaine adolescence.
Ta réponse est claire et elle confirme ce que tu m'avais déjà écrit en une autre occasion. Le temps passe, tout change et, encore une fois, il ne reste que les souvenirs (c'est déjà ça). "Tempus fugit", mais fort heureusement j'ai déjà eu mon "Carpe Diem" (on ne pourra me l'enlever).
Avec un bon bol d'air et en chantant(Jean Louis peut être l'as tu entendu avec nos anciens qui avaient fait l'Indo) http://www.youtube.com/watch?v=v4COA6vNKZ8
S'il vous plaît, parlez-moi du "ciné plage" où j'allais voir des films de l'ouest américain, des péplums et autres productions dépassées, sauf pour moi. Cela se passait boulevard de Verdun je crois, près de l'ancienne école Desceliers où régnaient en maîtres les meilleurs enseignants que j'ai connus (les Gioux : CP et Cm2).Fausto Garasa.
Vous évoquez le Lisieux et l'Arromanches. J'ai connu pas mal de ferries accostant Quai Henri IV. Mais je me souviens surtout de "Capitaine", une figure dieppoise aujourd'hui disparue, un peu "décalée". Il participait aux manoeuvres d'accostage, d'amarrage, avec son long bâton orné d'un chiffon coloré et tout cela avec la bienveillance des marins de la ligne qui l'appelaient "Capitaine". Jean-Pierre Marchand
Je me souviens de la carpenterie. On plongeait depuis les piliers. Il n'en reste plus qu'un. On avait des chambres à air de roues de camion. L'eau était froide avec l'Arques qui passe là. Antoine dit le cartahu.
La foire sur le parc Jean Ango. On passait près de baraquements verts en bois. Je suis resté coincée une bonne demi-heure dans le palais des glaces. Je me souviens d'un manège avec des bateaux. J'entends encore le bruit de l'eau. Je n'ai pas de photo hélas. Evelyne
Souvenir de la Place Nationale un jour de marché:J'ai vu un beau jour de printemps, un énorme crabe s'évader de la poissonnerie...Après avoir "sauté" sous mes yeux étonnés, il traversa le parking en passant entre les voitures, ce qui lui sauva aussi la vie, pour aller vers "l'eau" sans doute par instinct et sens de l'orientation...Ca m'a amusé et je l'ai suivi, jusqu'à une des petites rues dont j'ai oublié le nom.Et l'ai aidé à terminer son trajet... Thierry Bressol
Wahou!.....
RépondreSupprimerFestival des couleurs du couchant!....
Or; rose, rouge, et toutes les nuances des mauves , violets sombres!....magnifique!...
Jean-Louis
C'est "Normandie impressionnisme" en ce moment ;+))
SupprimerCe soir aussi, c'était beau.
Olivier
Les yeux du peintre ! C'est vrai qu'il est beau ce coucher de soleil. La vue plongeante de surcroît.
RépondreSupprimerFG
Beaucoup de gens se sont retrouvés à Bonsecours pour ce coucher de soleil.
SupprimerOlivier
Un PISSARO photographe
RépondreSupprimerQuand j'étais jeune, la contemplation des couchers de soleil était une mode. On s'installait dans la zone de la rotonde et on contemplait la chose avec une petite pointe d'ésotérisme et de bouddhisme de bon aloi (c'était aussi la mode). Cela ne nous empêchait pas, je l'avoue, de regarder les filles qui passaient par là, de faire mine de les ignorer et de se croire le centre du monde (c'est peut-être là le défaut, mais aussi la qualité de la jeunesse).
SupprimerJe vois que les couchers de soleil sont, fort heureusement, beaucoup plus qu'une mode et qu'il existe des artistes de l'instant. Un peu comme Jorge Guillén en matière de poésie(franchement, les photos sont belles !).
FG
NB: J'ai constaté en contemplant une photo de la fin des années 70 ou du début des années 80 (je me suis fié aux voitures pour dater) qu'à l'époque, l'estacade existait encore. Le pire c'est que je ne m'en souviens pas, bien qu'ayant fréquenté ces lieux avec une relative assiduité jusqu'à la fin des années 70. J'espère que ce n'est pas la mémoire qui, me concernant, flanche dangereusement. Si c'est le cas, tant pis.
N'exagérons pas...:+))
SupprimerOlivier
@ Fausto
RépondreSupprimerJ'ai fait ça aussi. Combien de fois on a refait le Monde à la Rotonde en guettant les étoiles filantes !
Olivier
Cela ne m'étonne pas car nous faisons partie de la même génération (d'après mes calculs, seules quelques années nous séparent et, maintenant que j'y pense, nous avons dû nous rencontrer : MJC, plage, Bout-du-Quai ?).
RépondreSupprimerMoi aussi j'ai essayé de changer le monde, mais cela n'a pas marché. Un échec total, reconnaissons-le. As-tu eu plus de succès ? (l'humour, dit-on, ne tue pas : c'est déjà cela).
FG
J'ai eu plein de succès. Mais du côté des filles. Bon là, je me vante ;+))
SupprimerSans doute MJC, Plage et Bout-du-Quai.
Olivier
Je suis très étonnée et limite choquée, des couchers de soleil, des regards en coin vers les filles, n'y avait-il donc que moi à ne penser qu'aux études près de cette rotonde ! :+))
RépondreSupprimerTout le monde se souvient de toi : celle qui faisait semblant d'ouvrir un livre pour mieux reluquer les beaux gars comme nous ;+))
SupprimerOlivier
J'ai été découverte damned ! Sartre était mon alibi habituel, je ne crois pas être arrivée à bout de "La Nausée"! ;+))
RépondreSupprimerCe n'est pas une lecture....de bord de mer!...( sur mer encore moins!...)
RépondreSupprimerJL
Tout à fait vrai, mais Sartre était à l'oral de français du bac et le coefficient comptait quand on était en section A de l'époque, alors mal de mer ou pas...nausée quand même, on se donnait surtout l'impression de réviser parce que la concentration n'y était pas vraiment !
RépondreSupprimerIl est vrai que le bac n'a jamais été équipé de système anti-roulis et anti-tangage. Alors le mal d'Homère à défaut de Jean Sol Partre (c'est encore une histoire d'écumes journalières me direz-vous). A déchiffrer ...
SupprimerQuel plaisantin !
FG
Chapeau bas Monsieur Fausto : en ce temps tellement orageux que Les Mouches ne se contentent pas de rester à Huis-Clos, les Mots sont parfois difficiles à venir. Je constate qu'il n'en est rien pour certains alors que même Le Diable et le Bon Dieu abandonneraient la partie et que les Putains respectueuses resteraient enfermées.
RépondreSupprimerDésolée, c'est la chaleur, je n'ai pas pu résister ! ;+))
Entre pièces de théâtre, drames et autobiographie, une bonne partie de Jean Sol est là. Il ne manque plus que la damnation, mais là je m'en charge (avec un "o" en plus, mais c'est la même racine latine).
SupprimerOn peut dire qu'en ces temps orageux nous sommes les rois de la "déconne".
FG
Regardiez vous le ciel pour voir apparaître CASTOR?
RépondreSupprimerJe vois qu'il y en a d'autres que la chaleur ne perturbe pas ! non Alain je ne la voyais pas apparaître sauf si j'avais succombé alors aux paradis artificiels et comme j'étais une jeune fille rangée...
RépondreSupprimerLes paradis artificiels c'était en juin (enfin tout dépend de la prononciation du mois), pas en juillet. Or nous sommes en juillet et avons toujours été de surcroît, moi et l'ensemble des intervenants (dont Catherine) très sérieux.
RépondreSupprimerQuant aux Gémeaux (au-delà de la Constellation, ce sont aussi les jumeaux, Pollux inclus), point de Parnasse, pas plus que de symbolisme tardif, pas davantage d'absynthe (elle n'existe plus depuis longtemps, remplacée quelle fut par le pastis et le Ricard, avec interdiction de dépasser le 51), peut-être des absences ...
Je ne suis pas coupable de tout cela, c'est Jean-Louis qui a commencé avec son histoire de mal de mer. Na !
FG
La Nausée...fausto, la Nausée!...sans avoir les mains sales!.....
RépondreSupprimerJL
Je crois Jean-Louis que nous ne nous sommes pas compris. C'est le problème des allusions, qu'elles renvoient à Jean Sol ou pas et des allusions, bien bénignes et plutôt drôles, il y en a un paquet dans les messages qui précèdent.
SupprimerJ'avais compris (outre l'allusion à La Nausée, puis aux Mains Sales) qu'il y avait un renvoi au mal de mer lorsque tu précises (voir plus haut) : "Ce n'est pas une lecture....de bord de mer!...( sur mer encore moins!...)". La nausée pouvant être provoquée par des troubles de l'oreille interne causés notamment par le tangage, le roulis et donc le mal de mer, je croyais que tu faisais à Catherine une bonne blague qui allait au-delà du roman philosophique (d'autant plus qu'outre tes talents d'artistes, tu es marin. Cela tombait pile poil).
Tu me diras que je vais chercher des allusions et des jeux de mots là où il n'y en a pas. Autant pour moi.
FG
J'imagine qu'avec mon esprit tordu, mais encore une fois, fort bénin, ce que j'ai écrit précédemment a peut-être été mal interprété (c'est mon côté parano).
SupprimerSi vous cherchez bien (c'est vrai que cela n'est pas très intéressant et personne ne vous tiendra rigueur si vous vous en fichez), il n'y a rien de vilain. Il ne s'agit que de quelques élucubrations autour de Castor et Pollux, de la Constellation des Gémeaux (des jumeaux et donc de Castor et Pollux), de Baudelaire, des symbolistes (Verlaine, Rimbaud), de l'absynthe, du juin (prononciation spécifique à adopter)dont on pourrait penser que nous sommes coutumiers vus les propos, pour le moins délirants, que l'on tient.
Très amicalement et toujours avec ce plaisir qui m'envahit lorsque je dialogue avec mes sympathiques et intéressants Dieppois (dont j'espère faire encore partie, du moins par la pensée).
FG
non, c'était bien çà; la Nausée; mais quand elle arrive trop vite, en mer, .....on peut aussi avoir ...les mains sales!....
Supprimer.véritablement, sans allusion; mais çà collait bien avec ce qui précédait!...( Sartre n'aurait pas été ravi...)
JL
OK, cela me rassure, je vois que j'avais au moins compris le début. De mon côté, j'ai fait allusion à Jean Sol (Partre) car c'est ainsi que Vian appelle son ami Sartre dans l'Écume des jours (une Écume qui est une mer figurée, mais qui nous va si bien). Bon, redevenons plus simples, c'est-à-dire naturels et on se comprendra mieux.
SupprimerLes paradis artificiels (pas l'essai de Baudelaire)c'était par ailleurs la grande mode des années 70 que l'on faisait coïncider avec le bouddhisme et l'ésotérisme. C'était drôle de voir des gars comme moi et d'autres acolytes s'être autant transformés en quelques années au sortir de notre Bout-du-Quai qui lui, était notre milieu naturel. Et quel milieu ! Les plus belles années de ma vie (sans la moindre ironie) ! J'ai du reste très peur de revoir un jour mon Bout-du-Quai car je suis sûr qu'il a disparu à jamais.
Bon week-end.
FG
Sans l'ombre d'un doute!....TON Bout du Quai, le MIEN par la même; ont disparu à jamais!
Supprimerles rues: Canu, des bonnes femmes; Beauregard; la Lanterne etc....autrefois grouillantes de vie, ne sont plus que des rues ...vides, sans âme, j'y passe ( rarement) comme un étranger!..seuls, les souvenirs sont là!....
C'est devenu...résidentiel?....l'été... et vide l'hiver!Enfin, c'est l'évolution des quartiers un peu partout je crois.
Jean-Louis
Je suis content que tu ne te sois pas moqué de ma perle : "J'ai du reste très peur de revoir un jour mon Bout-du-Quai car je suis sûr qu'il a disparu à jamais" (voir mon dernier message).
SupprimerSortie de son contexte la phrase est absurde et tu as parfaitement compris ce que je voulais dire : j'ai peur de revoir le Bout-du-Quai (qui ne peut-être que l'actuel Bout-du-Quai) car je ne risque pas d'y retrouver le Bout-du-quai de mon enfance et d'une certaine adolescence.
Ta réponse est claire et elle confirme ce que tu m'avais déjà écrit en une autre occasion. Le temps passe, tout change et, encore une fois, il ne reste que les souvenirs (c'est déjà ça). "Tempus fugit", mais fort heureusement j'ai déjà eu mon "Carpe Diem" (on ne pourra me l'enlever).
FG
Avec un bon bol d'air et en chantant(Jean Louis peut être l'as tu entendu avec nos anciens qui avaient fait l'Indo)
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=v4COA6vNKZ8
Là, Alain j'ai compris (c'est vrai que c'était facile). Cela colle parfaitement.
RépondreSupprimerFG