Quiquengrogne à Dieppe présente quelques photos prises dans les années 80.
Dans les entrailles de l'Exxtor :














Merci à Maïna, 11 ans à l'époque, élève de CM2, et à son papa. Elle se reconnaîtra.
Quelques aspects de l'histoire de Dieppe,en images, avec un léger parfum d'archives et avec le sourire
Merci pour ces photos. J'avais oublié totalement cette passerelle. On voit bien le fonctionnement, l'ascenceur.
RépondreSupprimerAntoine
Connaît-on la raison pour laquelle la passerelle s'est retournée ? Je ne me souviens pas avoir lu quoi que ce soit à ce sujet ?
RépondreSupprimerJean-François Dumont
@ Jean-François
RépondreSupprimerJe vais tâcher de me renseigner.
Olivier
Souvenir un peu amer, car TOE est en liquidation judicaire.
RépondreSupprimerGérard Lelieur
C’est le samedi 5 décembre 1998 que la passerelle, construite en 1979 pour l’embarquement des poids lourds sur les cargos de la liaison transmanche Schiaffino, s’était retournée, avant de s’affaisser dans le bassin au niveau du quai Guynemer. Il était 0 h 45 samedi quand les voisins - ils sont peu dans ce quartier - ont entendu un gros craquement, qui a résonné le long des bâtiments qui jouxtent l’arrière-port. La passerelle Ro-ro (Roll on-roll off) venait de céder. Pour des raisons encore méconnues, la passerelle pesant plus de 540 tonnes s’est, en deux temps, quasi complètement retournée sur elle-même, laissant apparaître ses flotteurs au-dessus du niveau de la mer.Mais après une longue bataille d’expertises, l’organisme agréé Apave écartait l’hypothèse de la responsabilité de l’entreprise Mac Gregor, mais pointait au contraire du doigt « des négligences dans l’entretien de la passerelle, un ballast jamais vérifié, une fuite non colmatée » selon l’avocat de Mac Gregor présent à l’audience mardi. Toujours selon le défenseur du constructeur, « la passerelle était laissée à l’abandon, n’était pas entretenue, et la Chambre de commerce a voulu faire condamner mon client car elle cherchait des financements pour effectuer des travaux dans le port ».Mais ce retrait de plainte n’enterrait pas pour autant l’affaire. Estimant que « pour assister à de nombreuses réunions d’expertise, des salariés de Mac Gregor se sont régulièrement déplacés depuis la Suède, ce qui a occasionné des frais importants » l’avocat de la société a réclamé à son tour 50000 euros (328000 F) de dommages et intérêts pour « mauvaise foi de la CCID et comportement abusif », 16000 euros (105000 F) au titre des frais irrépétibles (frais de procédure) et une amende pour recours abusif. Cette dernière demande a été jugée irrecevable par le commissaire du gouvernement, mais elle a tout de même requis à l’encontre de la CCID 14000 euros (92000 F) au titre des frais d’expertise de Mac Gregor, et 1300 euros (8500 F) au titre des frais de justice. L’affaire a été mise en délibéré.( sources les infos dieppoises)
RépondreSupprimer@ Sophie
RépondreSupprimerMerci pour toutes ces précisions que j'ignorais et qui j'espère répondent parfaitement à la question de Jean-François.
Pour Quiquengrogne à Dieppe
Olivier
Bjour!!!
RépondreSupprimerFaute de temps il y a quelques jours, je n'ai pas eu le temps de répondre à cette bonne question.
Mais, je vois que non seulement Sophie l'a fait "à ma place" et avant moi, mais qu'elle en dit encore plus! Bravo! C'est parfait, ceci dit je confirme que cet équipement depuis son installation, n'a jamais été correctement entretenu, d'où cet accident stupide, qui pouvait survenir n'importe quand (+ tôt ou + tard...) qui aurait fort bien pu tuer quelqu'un d'ailleurs...
Un seul commentaire peut s'imposer, elle était solide finalement cette passerelle "Roll on Roll off", comme disent "ceux d'en face".
D'autre part sans aller jusqu'à dire que c'est une spécialité Dieppoise, la chute d'une passerrelle "roro", c'est aussi arrivé à "l'Armement Naval SNCF" Selink, au bout du quai Henry IV. Cet accident là est survenu quelques années avant que j'habite Dieppe, 1981/91, mais on en parlait encore. Malheureusement ce jour là, un chargeait l'un des deux "V" (Villandry/Valençay?) et un camionneur espagnol y a laissé la vie. Une bien triste histoire.
Peut-être aussi que la mauvaise fille qu'est Pandora, qui sait TOUT sur Dieppe, nous en dira plus. Mais là, ce n'est pas drôle du tout.
Il fut un moment question pour moi de naviguer à bord du Schiaffino, mais je suis retourné au Long-cours.
Bonne idée de si bien nous montrer cet aspect méconnu de Dieppe, un peu triste mais qui a aussi son intérêt.
Bien navicalement
le matelot blogueur de
http://souvenirs-de-mer.blogdns.net/
je ne sais comment faire ,
RépondreSupprimerje suis a la recherche de photos du jean gougy et aussi des circonstances du naufrage du chalutier, mon frère était matelot lors du naufrage ,moi j'avais 8 ans et mes parent n'abordaient que rarement le sujet.
J'aimerai en savoir plus.
MERCI
Veuillez me contacter maxime.sevelin@wanadoo.fr
@ Maxime
RépondreSupprimerJe vous contacte par mail. On sait peu de choses en fait. Le dernier message radio, le lieu.
Olivier
bonjour Olivier
Supprimerje reviens à la charge quant au naufrage du Jean GOUGY, ma difficulté à collecter des informations réside dans le fait que depuis 32 ans j'habite dans le sud ouest de la france. Ancien militaire j'ai pas mal voyagé mais hors métropole , il m'arrive rarement de remonter et je ne saurai à qui m'adresser.
Merci encore
A bientôt Maxime
merci Olivier
RépondreSupprimermais le peu sera toujours mieux que rien
je te donne mon mail
maxime.sevelin@wanadoo.fr
A+ MAXIME