
Qui se reconnaîtra sur ces deux cartes postales des années soixante représentant le square Jules Pinsdez ? Sur le tourniquet, le garçon à droite devait fréquenter l'école Richard Simon. Sur la deuxième carte postale on distingue les deux gardiens, bien connus des garnements de l'époque et qui nous coursaient quand on arrachait les lattes en bois vert de la barrière qui séparait le jardin d'enfants du mini-golf pour en faire des épées.
cartes postales collection personnelle
Quand il fallait monter sur le tourniquet, en short, ça nous brûlait les cuisses ! Remarquez les filles en jupe...
RépondreSupprimerBenoît Rimbert
Et bien, les filles, elles étaient fières de voir s'envoler leur jupe de vichy rose (comme celle de BB) lorsqu'elles faisaient de la balançoire. Un petit jeu qui a traversé le temps...
RépondreSupprimerEléonore
Et le gardien du square Carnot avec sa jambe de bois. Il nous faisait un peu peur.
RépondreSupprimerRené
@ Benoît
RépondreSupprimerNous avons dû avoir les mêmes shorts...
@ Eléonore
Un petit jeu qui faisait le bonheur des garçons...
@ René
Le gardien et son petit cabulot vert. Tout un univers
Et puis aussi le bassin, lieu de ma première grande honte publique quand, à 4 ans, après être tombée dedans en voulant rattraper une jolie petite vedette téléguidée j'ai dû ensuite me mettre nue devant tout le monde pour enfiler des habits secs...j'en frémis encore !
RépondreSupprimerMalgré tout, je regrette qu'il n'y ait plus aucun bassin à Dieppe.
Un très grand merci à l'équipe de Quiquengrogne pour nous faire revivre ainsi, en toute liberté le passé de Dieppe !
Annie
@ Annie
RépondreSupprimerMerci pour votre commentaire et ce délicieux souvenir. Et les petits voiliers en panne au milieu du bassin ! Il fallait demander au gardien qui avec sa grande perche munie d'un crochet ramenait l'embarcation. Gare à celui ou celle qui décidait de mettre les pieds dans l'eau pour aller chercher le précieux esquif !
Quel bonheur! Je viens juste de découvrir ces commentaires et ces images de mon enfance et je me dis que j'ai dû très certainement croiser quelques-uns de ces enfants qui avaient alors à peu près mon âge.
RépondreSupprimerAh, ce "jardin d'enfants" comme on disait ! Ah, ce bassin où les "moins fortunés" n'avaient point de bateau et ne "naviguaient" donc pas vraiment. Cela ne les empêchait pas d'admirer goélettes et vedettes à moteur avec un brin d'envie, certes, mais aussi avec grande délectation ! (et puis parfois on nous la prêtait cette vedette).
Et ces gardiens qui, il est vrai, nous coursaient lorsque nous étions trop turbulents et que nous confondions bassin et piscine privée ! Et ces batailles, épée au poing, bouclier de fortune au bras et casque de centurion en carton mal calé sur nôtre petite tête ! Et sous le casque les images des péplums du Kursaal ou du Ciné-Plage ... Et ces pistolets à "pétards" et ces étoiles de shérif en plastique qui faisaient de nous autant d'acteurs des "movies" (que les puristes me pardonnent) de l'époque. Oui, ça c'était avant que l'on ne construise la piste de patinage. Une autre époque en somme où les patins avaient quatre roulettes et ne ressemblaient pas encore à des patins à glace.
Fausto Garasa (un ancien habitué des lieux).
Mon pire souvenir avoir pousse dans le bassin un autre garcon de mon age qui jetait de l eau sur mon bateau qui n avancait pas(et pourtant je n etais pas violent)
RépondreSupprimerUn autre souvenir les jeux du SI animes par Mr Faure
Je mesouviens très bien du "père Faure" omme on disait. Les jeux Michelin et autres. Un vrai régal.
RépondreSupprimerOlivier
que de souvenir autour des bassins avec mon voilier Borda, les combats navals contre les vedettes mécaniques (il fallait les aborder dans le tiers arrière pour les couler), les achats de bouteilles de vin pour les gardiens chez l'épicier de la rue richard Simon et les jeux du père Faure! Merveilleuse époque.
RépondreSupprimerRené
J'y ai passé de très bons moments. Moi, c'était plutôt voilier.
RépondreSupprimerAmicalement
Olivier
Que de bons souvenirs.autour de ces bassins dans les années 60. Le jeux du père Faure et ses concours de châteaux de sable au Bas Fort Blanc. Yves Vincent
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